article
BOKO HARAM
BOKO HARAM, POURQUOI
PERSECUTES-TU MON PEUPLE
Pourquoi te plais-tu à persécuter mon peuple ?
Mets-toi devant ta glace et regardes ta gueule
Regardes-toi droit dans tes yeux de criminel
Tu verras que tu n’as rien de surnaturel
Ceux que tu détruis-là à longueur des journées
Sont tes frères, tes semblables, tes sœurs aînées
Tes pères, tes mères, qui t’ont fait voir le jour
Et auxquels tu dois, sans répit, le grand amour
Ceux que tu abats-là, avec toute ta force
Comme on hacherait les arbres dans la nature
Ont la même sève que toi sous leur écorce
Trouée par le revolver noué à ta ceinture.
Pourquoi n’as-tu pas la moindre reconnaissance
A cette femme qui, usant de la puissance
de tous ses nerfs et muscles vifs, t’as fait vagir ?
Et voilà qu’aujourd’hui tu la traites en martyr
Pourquoi te plais-tu à persécuter mes brebis ?
Sors des sentiers battus pour chasser ce mépris
Qui s’abat sur toi, tant au ciel que sur terre
Et devient mon enfant qui, à la voix de tonnerre
Portera mon message d’amour sous le ciel
Pour que l’homme ne manque de pain ni de miel.
Sors des tanières et négocie avec les tiens !
Que tes gens cessent de se comporter en chiens
Car c’est dans l’amour, la paix que l’on peut construire
Et la guerre n’est autre que l’art de détruire.
Quand la colère de Dieu descendra sur Terre
Et quand les foudres de sa rage vont gronder
Personne n’aura, pour se cacher, de cratère
Aucun ROI sur Terre n’aura plus à tonner.
Ainsi parle Allah
Allak’bar !
Lucas
GEORGES WEAH - L'EXEMPLARITE
Georges Wéah
Un mythe. Une légende. Un grand.
Depuis le début de son mandat présidentiel, le Liberia est devenu comme une assemblée de fourmis-maçons qui bâtissent leur termitière en silence, discrètement. Ce grand Monsieur, je l’ai connu sur la pelouse synthétique des stades les plus prestigieux du monde. Pas de visu, mais par le numérique ! Quand dans le duel des balles aériennes, ou quand il a senti le but venir et qu’il fonce vers les bois adverses alors que s’écroulent sous sa masse certains adversaires qui lèvent la main pour bénéficier du coup de sifflet réparateur de l’arbitre, Wéah demeure toujours le premier à courir vers eux et à leur tendre la main en toute amitié afin de les relever. C’est ce qu’on appelle avoir le sens du fair-play sur le terrain.
Mais de ce fair-play footballistique exhibé sur l’aire des jeux, Wéah en fait sa technique de combat politique, car, dès le moment où le glas a sonné pour confirmer le sacré Ballon d’Or du football au trône de la présidence de la République du Libéria, eh bien, il n’a pas attendu un seul instant pour aller serrer la main de la Présidente et du Président-Adjoint sortants, les tapotant amicalement sur l’épaule et en leur disant : « le pays appartient à nous tous et nous devons travailler ensemble pour le hisser sur une orbite supérieure, pour le bonheur du peuple ». Et depuis, c’est le silence dans ce vaste chantier qu’est le Libéria. Qu’y peaufine-t-on, qu’y mijote-t-on comme plans d’envol dans ce pays qui autrefois fut dévasté par une chaude guerre fratricide. L’on n’aurait sûrement pas tort de dire que dans ce silence indescriptible et étonnant, va pointer bientôt, vers le ciel, le sommet d’une gigantesque termitière.
Et en voilà des manières ! D’une pierre, il a fait deux coups ! Star sur la pelouse et Star sur l’arène politique. Sur RFI, la radio du monde, l’information nous a été filée comme quoi le nouveau Président avait tapé fort du point sur la table pour fustiger les pratiquer incrustées dans la corruption qui gangrène le pays. C’est sur cet insecte nuisant, la corruption, vecteur de l’éboulement du socle de l’économie d’un pays, qu’il faut diriger le jet pulvériseur d’un insecticide puissant.
Oui ! Fair-play oblige dans la tenue de cette suprême fonction qui écarte toute cette tendance ou manie de considérer comme frères ennemis entre opposants et tenants du pouvoir. Du coup, ce Monsieur devient un modèle de gestionnaires les plus rares d’Afrique et une exemplarité politique qui rejoint cette tribune d’honneur où ont déjà pris place ses vieux et collègues : MANDELA MADIBA, Léopold César SENGHOR. Le jour où l’Afrique marchera sur le pas de ces trois hommes, ce jour-là, elle connaîtra une toute autre et nouvelle ère de développement tous azimuts. Ce jour-là, les peuples africains pousseront un ouf de soulagement ! En fait, ceux qui tuent, massacrent, appauvrissent l’Afrique, c’est ces politiciens tout véreux dont les intelligences sont plus au service des choses obscures qu’à celui des peuples. Le peuple vote son président de la république et ses députés et le tout se limite là, car la suite ne le concerne pas étant donné que les députés, qui soi-disant le représentent sont moralement faibles et facilement corruptibles eu égard des sommes fabuleuses qu’on leur jette à la face. La suite ne le concerne pas car le président soi-disant élu s’entoure des gens qu’il choisit lui-même et deviennent ipso facto ses propres valets et fanatiques zélés.
Le pouvoir du peuple devrait s’étendre plus loin, jusqu’à se choisir lui-même ses gouverneurs et les ministres devraient soumettre leurs dossiers à l’examen de l’assemblée provinciale pour un test et/ou pour un vote. C’est ce qu’on appellerait une DEMOCRATIE CITADINE, sinon les peuples africains ne seraient que des individus dont les politiciens useraient de leurs épaules comme des marches d’un escalier pour grimper le mur du positionnement politique, escalier dont on se débarrasserait par la suite.
En outre, le régime au pouvoir dans les pays africains ne peuvent pas monter des CENI composés de leurs membres, c’est ce qu’on appelle être juge et partie. Les CENI devraient faire l’objet d’un corps des gens intègres (les membres de l’église, les membres de la société civile, opposition et pouvoir, mais dirigés par des hommes de Dieu comme on dit.)
Silence total au Libéria. Cela fait belle lurette que ni RFI, ni VOA, ni BBC, ces trois chaînes de radio adulées en Afrique, ne transmettent un seul écho en provenance du Liberia. Faut-il toujours attendre qu’il y ait du feu quelque part pour que les radios du monde commencent à jaser ?
Les libériens ont compris qu’ils n’ont pas droit à l’erreur, et leurs deux derniers présidents sont à féliciter pour cette leçon d’alternance pacifique, transparente, inodore, insipide, sans coups fourrés, que l’Afrique entière, et pourquoi pas les autres pays du monde qui se déchirent pour la course au pouvoir, se doivent de s’approprier.
Avec toutes nos déférences, Excellence Monsieur le Président de la République.
Lucas-RDC
MPADI REVELE DES CHOSES SPIRITUELLES CACHEES
Un lecteur qui consulte notre blog nous écrit ou nous demande : POURQUOI TRANSFORMER LA VERITE ?
En voici donc une preuve de l'aliénantion dont parle Mpadi et qui aujourd'hui est à son 6ème siècle. C'est plutôt le colonialiste qui, en découvrant l'Afrique,, profite de l'ignorance des noirs ou de leur faiblesse pour leur impser aussi leurs religions à eux. Mpadi prône une cohabitation universelle entre les hommes de toutes les langues, de toutes les nations et de toutes les couleurs, mais à la seule condition, et la seule et absolue condition, que personne ne marche sur les plateformes religieuses de l'autre. C'est dire que toute race a son histoire spirituelle liée donc à l'existence de ses ancêtres auxquels elle doit spirituellement communiquer pour trouver des solutions à ses problèmes : c'est l'esprit de ses ancêtres qui ouvre donc l'esprit aux hommes de chaque race.
chaque race a, dès la création (que nous allons développer ultérieurement : fermez vos ceintures et retenez votre souffle !) son Dieu, ses ancêtres, ses anges, ses Sauveurs, son gardien de la foi. Au-dessus de tous il y a un Dieu Créateur qui règne en Maître Absolu. Chaque Dieu de chaque est comme son Ambassadeur. Par exemple : le Dieu des Noirs s'appelle Wamba wa Mpungu Tulendo ou Nzapa ou Mungu selon les langues ; le Dieu des Chinois est Izuara).
Ce sont des choses cachées pour l'homme noir mais bien connues par les colonialistes. Le Roi des beleges a dit aux explorateurs en route pour l'Afrique : "il faut faire disparaître de leur tête l'existence de leursDieu et de leurs ancêtres et leur faire connaître les nôtres qu'ils implorerons mais qui ne les écouteront pas !"
Mpadi est cette lumière qui vient chasser l'obscurité dans laquelle patauge l'homme noir sur le plan spirituel.
(A suivre)