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Lucas
FLEUR PARMI FLEURS
FLEUR PARMI FLEURS
Belle parmi les belles, fleur parmi les fleurs
Je t’ai réservé un espace dans mon cœur
Un jardin enchanté où les oiseaux, en chœur
Viennent entonner leurs airs, ivres de bonheur
Attendant t’accueillir, telle une sirène
Et te vêtir de la couronne d’or de reine
Les papillons seront au rendez-vous festif
Avec leurs ailes peintes aux multiples motifs
Les abeilles te réserveront tout leur miel
Dans une atmosphère aux couleurs de l’arc-en-ciel
Sous leur note lourde et bourdonnante musique
Imprimant à la fête une ambiance féerique
Les colibris prêteront leur duvet doré
Dont ils garniront soigneusement ta couchette
Et les hirondelles, sortant de leur cachette
Siffleront leurs refrains dans le ciel azuré
Le soleil, de connivence avec la nature
Sort, majestueux, de l’orient incandescent
Faisant éclore des fleurs aux mille rayures
Dans ce vert jardin au climat effervescent
Tu es fleur parmi fleurs et rose parmi roses
Et pour ta beauté, tu mérites qu’on t’arrose
Vient alors découvrir le jardin de mon cœur
Où tu goûteras à tous les fruits en primeur.
BOKO HARAM
BOKO HARAM, POURQUOI
PERSECUTES-TU MON PEUPLE
Pourquoi te plais-tu à persécuter mon peuple ?
Mets-toi devant ta glace et regardes ta gueule
Regardes-toi droit dans tes yeux de criminel
Tu verras que tu n’as rien de surnaturel
Ceux que tu détruis-là à longueur des journées
Sont tes frères, tes semblables, tes sœurs aînées
Tes pères, tes mères, qui t’ont fait voir le jour
Et auxquels tu dois, sans répit, le grand amour
Ceux que tu abats-là, avec toute ta force
Comme on hacherait les arbres dans la nature
Ont la même sève que toi sous leur écorce
Trouée par le revolver noué à ta ceinture.
Pourquoi n’as-tu pas la moindre reconnaissance
A cette femme qui, usant de la puissance
de tous ses nerfs et muscles vifs, t’as fait vagir ?
Et voilà qu’aujourd’hui tu la traites en martyr
Pourquoi te plais-tu à persécuter mes brebis ?
Sors des sentiers battus pour chasser ce mépris
Qui s’abat sur toi, tant au ciel que sur terre
Et devient mon enfant qui, à la voix de tonnerre
Portera mon message d’amour sous le ciel
Pour que l’homme ne manque de pain ni de miel.
Sors des tanières et négocie avec les tiens !
Que tes gens cessent de se comporter en chiens
Car c’est dans l’amour, la paix que l’on peut construire
Et la guerre n’est autre que l’art de détruire.
Quand la colère de Dieu descendra sur Terre
Et quand les foudres de sa rage vont gronder
Personne n’aura, pour se cacher, de cratère
Aucun ROI sur Terre n’aura plus à tonner.
Ainsi parle Allah
Allak’bar !
Lucas
GEORGES WEAH - L'EXEMPLARITE
Georges Wéah
Un mythe. Une légende. Un grand.
Depuis le début de son mandat présidentiel, le Liberia est devenu comme une assemblée de fourmis-maçons qui bâtissent leur termitière en silence, discrètement. Ce grand Monsieur, je l’ai connu sur la pelouse synthétique des stades les plus prestigieux du monde. Pas de visu, mais par le numérique ! Quand dans le duel des balles aériennes, ou quand il a senti le but venir et qu’il fonce vers les bois adverses alors que s’écroulent sous sa masse certains adversaires qui lèvent la main pour bénéficier du coup de sifflet réparateur de l’arbitre, Wéah demeure toujours le premier à courir vers eux et à leur tendre la main en toute amitié afin de les relever. C’est ce qu’on appelle avoir le sens du fair-play sur le terrain.
Mais de ce fair-play footballistique exhibé sur l’aire des jeux, Wéah en fait sa technique de combat politique, car, dès le moment où le glas a sonné pour confirmer le sacré Ballon d’Or du football au trône de la présidence de la République du Libéria, eh bien, il n’a pas attendu un seul instant pour aller serrer la main de la Présidente et du Président-Adjoint sortants, les tapotant amicalement sur l’épaule et en leur disant : « le pays appartient à nous tous et nous devons travailler ensemble pour le hisser sur une orbite supérieure, pour le bonheur du peuple ». Et depuis, c’est le silence dans ce vaste chantier qu’est le Libéria. Qu’y peaufine-t-on, qu’y mijote-t-on comme plans d’envol dans ce pays qui autrefois fut dévasté par une chaude guerre fratricide. L’on n’aurait sûrement pas tort de dire que dans ce silence indescriptible et étonnant, va pointer bientôt, vers le ciel, le sommet d’une gigantesque termitière.
Et en voilà des manières ! D’une pierre, il a fait deux coups ! Star sur la pelouse et Star sur l’arène politique. Sur RFI, la radio du monde, l’information nous a été filée comme quoi le nouveau Président avait tapé fort du point sur la table pour fustiger les pratiquer incrustées dans la corruption qui gangrène le pays. C’est sur cet insecte nuisant, la corruption, vecteur de l’éboulement du socle de l’économie d’un pays, qu’il faut diriger le jet pulvériseur d’un insecticide puissant.
Oui ! Fair-play oblige dans la tenue de cette suprême fonction qui écarte toute cette tendance ou manie de considérer comme frères ennemis entre opposants et tenants du pouvoir. Du coup, ce Monsieur devient un modèle de gestionnaires les plus rares d’Afrique et une exemplarité politique qui rejoint cette tribune d’honneur où ont déjà pris place ses vieux et collègues : MANDELA MADIBA, Léopold César SENGHOR. Le jour où l’Afrique marchera sur le pas de ces trois hommes, ce jour-là, elle connaîtra une toute autre et nouvelle ère de développement tous azimuts. Ce jour-là, les peuples africains pousseront un ouf de soulagement ! En fait, ceux qui tuent, massacrent, appauvrissent l’Afrique, c’est ces politiciens tout véreux dont les intelligences sont plus au service des choses obscures qu’à celui des peuples. Le peuple vote son président de la république et ses députés et le tout se limite là, car la suite ne le concerne pas étant donné que les députés, qui soi-disant le représentent sont moralement faibles et facilement corruptibles eu égard des sommes fabuleuses qu’on leur jette à la face. La suite ne le concerne pas car le président soi-disant élu s’entoure des gens qu’il choisit lui-même et deviennent ipso facto ses propres valets et fanatiques zélés.
Le pouvoir du peuple devrait s’étendre plus loin, jusqu’à se choisir lui-même ses gouverneurs et les ministres devraient soumettre leurs dossiers à l’examen de l’assemblée provinciale pour un test et/ou pour un vote. C’est ce qu’on appellerait une DEMOCRATIE CITADINE, sinon les peuples africains ne seraient que des individus dont les politiciens useraient de leurs épaules comme des marches d’un escalier pour grimper le mur du positionnement politique, escalier dont on se débarrasserait par la suite.
En outre, le régime au pouvoir dans les pays africains ne peuvent pas monter des CENI composés de leurs membres, c’est ce qu’on appelle être juge et partie. Les CENI devraient faire l’objet d’un corps des gens intègres (les membres de l’église, les membres de la société civile, opposition et pouvoir, mais dirigés par des hommes de Dieu comme on dit.)
Silence total au Libéria. Cela fait belle lurette que ni RFI, ni VOA, ni BBC, ces trois chaînes de radio adulées en Afrique, ne transmettent un seul écho en provenance du Liberia. Faut-il toujours attendre qu’il y ait du feu quelque part pour que les radios du monde commencent à jaser ?
Les libériens ont compris qu’ils n’ont pas droit à l’erreur, et leurs deux derniers présidents sont à féliciter pour cette leçon d’alternance pacifique, transparente, inodore, insipide, sans coups fourrés, que l’Afrique entière, et pourquoi pas les autres pays du monde qui se déchirent pour la course au pouvoir, se doivent de s’approprier.
Avec toutes nos déférences, Excellence Monsieur le Président de la République.
Lucas-RDC
JE PLEURE POUR MON AFRIQUE
Je pleure pour mon Afrique
Mon Afrique est chrétienne par défaut
Mon Afrique est catholique par défaut
Mon Afrique est musulmane par défaut
Mon Afrique est bouddhiste par défaut
Mon Afrique est orthodoxe par défaut
Mon Afrique est protestante par défaut
Mon Afrique est salutiste par défaut
Mon Afrique est témoin de Jéhovah par défaut
Mon Afrique est tout par défaut
Alors, réveille-toi Afrique, jette un regard en arrière
Et vois la profondeur du fossé
Qui t'éloigne de ta vraie IDENTITE
Réveille-toi, Afrique, LAMUKA, SHIMAMA
Et ébroue-toi, secoue-toi énergiquement
Comme ce chien chassant tout ce qui avilit son poil
Sais-tu Afrique ? Le sais-tu vraiment ?
Que tes ancêtres t'ont tendu leurs mains
Pour t' accueillir et te montrer le chemin de la vérité
le chemin de ta culture, base inébranlable de ton épanouissement, de ton envol définitif.
Sais-tu AFrique, que tu as ton Dieu, Tes Sauveurs ?
Alors cherche-Les ! Trouve-Les
Et mieux ça sera pour toi.
Lucas
67ème ANNIVVERSAIRE DE LA MORT DE SIMON KIMBANGU : PREMIER SAUVEUR DES AFRICAINSS
12 Octobre 1951, 12 Octobre 2018, voilà déjà, jour pour jour, 67 ans bien révolus, depuis que le Premier Sauveur KIMBANGU DIATUNGUNUA a quitté cette terre des hommes.
Et les MPADISTES, fidèles à la coutume, mobilisés comme un seul homme, sous la conduite éclairée de SON EMINENCE BOSEKOTA KITEDIKA MPADI, REPRESENTANT LEGAL, CHEF SPIRITUEL DE LA CONFESSION RELIGIEUSE « RELIGION MPADISTE », (en sigle REMPAD), NKULUNTU-a-zi-NTUMUA, GARDIEN DE LA FOI MPADISTE, vont se rassembler ce 14 octobre 2018 au Siège Social et Administratif, sis 124, 3ème Rue, Quartier MALEMBA, Commune de Matete (réf. Croisement Route Ma Crevette et 3ème Rue), pour célébrer en toute allégresse, le 67ème ANNIVERSAIRE de la MORT de celui qui est le PREMIER SAUVEUR du PEUPLE AFRICAIN, partout où qu’il soit à travers le monde.
Mais, les SAUVEURS ne MEURENT pas, mais ils VOYAGENT et vont s’asseoir, chacun sur le TRÔNE céleste lui réservé. Ils ont toujours parmi nous en esprit.
Né d’une manière mystérieuse et décédé aussi de la même manière, cet HOMME n’est nullement de ce monde nous référant aux exploits combien inédits, combien grandioses qu’aucun autre humain sur terre n’ait jusque-là accomplis, en si peu de temps, tout au long de son Ministère Divin qui n’aura duré que l’espace de six mois, dont trois en public et trois autres en toute clandestinité, car traqué par le COLONISATEUR BELGE qui en voulait à sa tête.
Six mois seulement au cours desquels 146 macchabées ont recouvré la vie et 17892 malades ont été guéris de leurs maux et handicaps au grand dam des colons flamands, des missionnaires catholiques et protestants, et de tous les ennemis opposés à la SPIRITUALITE AFRICAINE. Des aveugles, des sourds, des paralytiques, des bossus, des handicapés, tous eurent gain de cause et virent chacun, son mal disparaître juste par imposition de main du Sauveur. Les charlatans, les sorciers, les magiciens se dépouillèrent de leurs bagages occultes jetés au feu. C’est FORMIDABLE, C’est INCROYABLE ! Et toutes les maisons de santé, toutes les entreprises de Kinshasa et des environs se vidèrent de leurs malades et de leurs personnels. Tous ne pensaient qu’à aller RECEVOIR, à NKAMBA, la main salvatrice du SAUVEUR DES AFRICAINS. Une ère nouvelle, un soleil nouveau, prenait jour en AFRQUE !
Et c’est là que les ennemis des Africains, les COLONS FLAMANDS, de connivence avec le clergé catholique t protestant, sous le chapeautage de la Royauté Belge et du Vatican, tinrent des conciliabules au cours desquels ils décidèrent d’éliminer KIMBANGU DIATUNGUNA. Il fut soumis à une parodie de procès qui ne pouvait aboutir que sur la PEIN DE MORT. Le ROI BELGE en décida autrement et opta pour une mesure d’assouplissement de PRISON A VIE et TRAVAUX FORCES.
Le Premier SAUVEUR des Africains a subi son martyr, pauvre innocent, comme EMMANUEL a eu à en souffrir sur le Chemin de la Croix qui l’aura conduit à la mort à Golgotha (selon la Bible). La REMPAD reconnaît bien EMMANUEL comme étant le Second SAUVEUR, après MOÏSE, venus tous deux sur Terre UNIQUEMENT pour le Salut Eternel des peuples issus des douze tribus d’Israël. EMMANUEL ou Jésus n’est pas LE SAUVEUR UNIVERSEL comme l’occident voudrait bien l’INCULQUER dans la CONSCIENCE DES AFRICAINS. Les FRONTIERES DE LA SPIRITUALITE d’une race donnée sont INVIOLABLES et ne peuvent en aucun moment être TRANSGRESSEES, sinon c’est la perte totale de son IDENTITE, de sa PERSONNALITE et de ses RACINES..Aucune RELIGION ne peut empiéter sur les plates-bandes de l’autre.
Et c’est là le COMBAT ultime DE LA SPIRITUALITE que n’ont cessé de mener nos deux SAUVEURS KIMBANGU et MPADI face à l’INVASION des RELIGIONS ETRANGERES qui ont façonné une fausse IDENTITE dont-elles ont revêtu l’AFRIQUE TOUTE ENTIERE, COMBAT qui leur ont valu emprisonnement, relégation et mort injustes.
Le PREMIER SAUVEUR KIMBANGU est MORT le 12 octobre 1951 et le SECOND, PAPA MPADI, le 19 Mars 1991. Grâce à la mesure du ROI des Belges, KIMBANGU s’est retrouvé à la Prison d’Elisabethville (Province de Katanga). Bien avnt cela, il avait prédit qu’après LUI viendrait son SUCCESSEUR, un DEUXIEME SIMON qui sera DUR COMME PIERRE. Lui aussi, après le début de son Ministère Divin, le 07 Septembre 1939, sera arrêté le 13 du même mois, et après plusieurs transfèrements à travers plusieurs prisons de la RDCongo, il finira par atterrir à la Prison d’Elisabethville où il sera accueilli par KIMBANGU. Voyez comment notre DIEU, WAMBA WA MPUNGU TULENDO arrange les choses. Que c’est MERVEILLEUX ! Pendant que les COLONS FLAMANDS et leurs complices Missionnaires Catholiques, Protestants et Salutistes (CAPROSAL) croient les faire souffrir, ils oublient que quelque part LE PLAN DE DIEU est en train de se réaliser.
Les deux SAUVEURS ont passé une vie carcérale entourée de tout traitement allant à l’encontre des Droits Humains, vie qu’ils ont partagée ensemble pendant CINQ ANS, CINQ MOIS et VINGT-SIX JOURS. Cette RENCONTRE préparée par WAMBA WA MPUNGU TULENDO leur a permis de se concerter profondément et de faire une REMISE ET REPRISE sur les AFFAIRES CELESTES, qu’ils finiront par ranger dans TROIS DOSSIERS intitulés, en dialecte kongo : « MATUTA, MATUKANGA, MATUBINDA »., ce qui signifie : « Ce dont nous avons parlé », « Ce que nous avons arrêté » et « ce que nous avons mis en suspens ».
KIMBANGU a VOYAGE après TRENTE ANS de prison, le 12 Octobre à 15 heures, après 48 tentatives d’assassinat par des moyens occultes et inhumains mijotés par les COLONS. A la 49ème tentative, et KIMBANGU sentant la fin de sa mission, a accepter de se faire examiner au centrez médical de la prison. Et c’est là que ses ennemis l’ont empoisonné.
Les Deux Sauveurs ont VOYAGE, vivent nos SAUVEURS !
Mais après eux, y a-t-il UN ELU choisi pour continuer à faire paître leur TROUPEAU de brebis Africaines ? Les CHARLATANS, les IMPOSTEURS se revêtant de tous les NOMS IMPRESSIONANTS et même de ceux de MPADI et de KIMBANGU, élèveront leurs voix sur la place publique pour s’autoproclamer HERITIERS des Sauveurs.
La sagesse NTANDU (Kongo-Central) nous dit : « GO KISALU KA KI NGEYE KO, KA KI NGEYE KO », c’est-à-dire : « SI TU N’ES PAS CHOISI A UN POSTE, N’Y VA PAS PAR FORCE OU PAR IMPOSTURE ».
Ou encore : « NGOLA KUNA MASA, TUMBA BAN’TUMBA, KAYALA MPAMBA KO » comme pour dire en français : « CE N’EST PAS D’ELLE-MÊME QUE LA SILURE EST REINE DANS NOS RIVIERES, C’EST LA NATURE QUI L’A VOULU AINSI».
Tous ces récits événementiels marquant la SPIRITUALITE AFRICAINE, partant de la CREATION du MONDE avec l’apparition de nos deux premiers parents Africains NZALAPANDA et KITELE KINAMBU, en passant par KIMPA VITA, jusqu’à l’avènement de KIMBANGU et de MPADI, vous les saisirez auprès de la RELIGION MPADISTE, conduite par le SEUL et UNIQUE HERITIER DE KAMBANGU ET MPADI au nom de LULENDO BOSEKOTA KITEDIKA MPADI PORTEFEUILLE. C’est lui seul et personne d’autre. Et son nom ne se retrouve sur aucune de l'occultisme ou des loges à travers le monde. Tout individu oeuvrant, prestant au nom de MPADI ou de KIMBANGU en dehors du CADRE DE LA REMPAD, n’est qu’un SIMPLE IMPOSTEUR, UN PECHEUR EN EAU TROUBLE visant à conduire les paisibles BREBIS AFRICAINES de KIMBANGU et MPADI droit vers le RAVIN DE LA PERDITION.
LUCAS
TEL : 089 307 26 20
NAISSANCE DES SAUVEURS AFRICAINS : SIMON KIMBANGU ET MPADI
Photos : 1) Kimbangu, 2) Mpadi, 3) Couple Spirituel Rempad, "Sude de Nongueurs" ou Pasteurs Mpadistes, 5) Deux Fidèles Mpadistes
La Rempad, Religion Mpadiste, va célébrer, ce dimanche 23 septembre 2018, les 129è et 109è Anniversaires de Naissance des deux Sauveurs Africains Simon Kimbangu Diatungunguna et Mpadi Buka Makengo Nsuka, venus au monde respectivement le 24 septembre 1889 et le 25 septembre 1909.Le premier est né à 8h00 et le Second à 10h00. Si le Premier est décédé le 12 octobre 1951 dans la prison de Lubumbashi, le second, Lui, est mort le 19 mars 1991 à Kinshasa. En fait, les Sauveurs ne meurent pas, mais voyagent, c'est dire qu'ils sont toujours ensemble avec nous, mais en esprit.
Ce dimanche 23 septembre donc sera, pour la Rempad une journée de très grande importance où s'est réalisée la prophétie de Ndona Nsimba Béatrice faite le 02 juillet 1706, jour de son martyr subi sur le bûcher ardent, prophétie annonçant le retour de son fils, Kembu dia Nzenza va Kintete avec qui elle consumait sous les flammes, qui reviendrait sous le nom de Kimbangu.
Leur naissance est pleine de faits mystérieux, lesquels ont prouvé à la face du monde qu'ils n'étaient pas des gens de ce monde. Ils étaient et ils sont d'en haut ! Et ce dans ce sens que Son Emminence Lulendo Bosekota Kitedika Mpadi, Représentant Légal et Chef Spirituel de la Religion Mpadiste, Gardien de la Foi Mpadiste, va décortiquer ce sujet en vue de faire voir à la foule qui y est invitée le plan mystérieux de Dieu lié à la naissance de ces deux Grandes Manifestations Divines. Le plan mystérieux pour le salut de l'Afrique toute entière d'abord, et du monde, en général.
Il est important de signaler que si l'Afrique a accédé aux indépendances, c'est grâce à ces deux grandes personnalités. Et Kimbangu et Mpadi restent les deux seuls Sauveurs des peuples Africains. Il n' y a jamais eu de troisième sauveur, et quiconque se proclamerait ainsi ne serait qu'un imposteur pur et simple, semant le désordre et de l'embrouille dans le monde de la spiritualité africaine et dans l'esprit des innocentes brebis africaines.
Il n'y a jamais eu de troisième sauveur partout où s'était déclarée la parole de Dieu : Il y a eu Jésus et Moïse, Mahomet et Le Bab, Krishna et Bouddha, et pour l'Afrique Kimbangu et Mpadi.
Rendez-vous donc est donné pour ce dimanche 23 septembre 2018, au N° 124 de la 3è Rue à Kinshasa/Matete.
Nous vous ferons rapport de tout ce qui va s'y passer et aurez en primeur les images.
LIBERATION DE MPADI -SORTIE DE PRISON DE MPADI - 58è ANNIVERSAIRE
REMPAD
La seule et l’unique voie du salut de l’homme Africain.
« SPECIAL FETE DE LIBERATION »
05 MAI 1960 - 05 MAI 2018 - 58ème Anniversaire
MOIS DE MAI, MOIS DE LIBERATION
Selon le plan bien mijoté par le colonialiste belge et les missionnaires Caprosal (Catholiques, Protestants, Salutistes), aucun adepte Mpadiste envoyé à la relégation ne devrait rentrer à la case de départ (province du Kongo Central), ils devraient tous mourir, loin de chez eux dans la forêt équatoriale (Bandundu/Equateur) où les colons les avaient installés, afin que soit balayée toute trace du mouvement spirituel de Kimbangu et Mpadi. Si leurs fidèles étaient condamnés à une relégation à vie, qu’en était-il alors de leurs leaders ? Il fallait les faire souffrir, les torturer et les faire mourir à petit feu. En bref, Kimbangu y est resté, car il est arrivé aussi au terme de sa mission et a trouvé son successeur (après 30 ans de prison illégale) et Mpadi, lui, est retourné à la terre d’origine pour continuer cette colossale œuvre sacrée destinée au salut de l’Homme Africain (21 ans de vie carcérale non méritée).
Nombre de personnes ont entendu parler de cet Homme hors du commun des mortels, au nom de Mpadi ; nombre l’ont vu de visu, nombre aussi lui ont adressé la parole, serré la main, discuté, parlé avec lui, nombre encore ont vécu dans son entourage immédiat comme disciples, comme notables, mais seulement, faute de lucidité, faute d’informations et de renseignements issus d’une source sûre et fiable, et encore, faute de mieux connaître, de mieux appréhender sa personnalité, étant donné qu’elles sont toutes, les unes et les autres, enracinées dans le doute, dans le mal, elles ne pouvaient malheureusement pas savoir le situer, le placer sur son orbite céleste et le reconnaître comme tel dans sa profonde dimension spirituelle dont il est l’émanation.
C’est Lui, MPADI BUKA MAKENGO NSUKA PULULU ZA NSUNGU KEMBO DIA NZENZA VA KINTETE qui est à l’honneur ce mois de mai, mois de libération. Mois de délivrance, de cassure des menottes, des liens et des chaînes qui nous assujettissent. C’est lui le Second Sauveur des Africains, né le 25 septembre 1909 et voyagé (Elévation à la gloire céleste) le 19 mars 1991. C’est Lui qui a repris le bâton de commandement après KIMBANGU SIMON, le Premier Sauveur des Africains, né le 24 septembre 1889 et voyagé (Elévation à la gloire céleste) le 12 octobre 1951.
MPADI BUKA MAKENGO NSUKA, c’est Lui le Refondateur de la Religion Ancestrale, existant depuis le début des temps, le temps de la création, laquelle religion a été détruite, saccagée et interdite de fonctionnement par les envahisseurs occidentaux, qui, sous couvert du vocable CIVILISATION, à apporter aux Africains, leur ont plutôt imposé, de force, leurs religions. C’est Lui, le seul africain de l’époque qui s’est présenté, tête haute, au devant de l’autorité coloniale, c’est Lui qui a su braver l’autorité belge alors à l’apogée, pour lui annoncer sa décision de réhabiliter, sur recommandation divine, émanant de notre Dieu Wamba Wa Mpungu Tulendu, la Religion Ancestrale.
Le Mpadisme, prôné par la Religion Mpadiste, demeure toute une philosophie, un courant de multiples faits, d’actions, de visions, de lamentations, de pensées, d’enseignements doctrinaux authentiques et d’abondante sagesse liés à la spiritualité de l’Homme Africain.
Le Mpadisme est depuis des temps, la seule, l’unique et vraie voie du Salut de l’Homme Africain, voie qui s’est vue coupée, obstruée, barricadée par l’invasion du christianisme depuis le 15ème siècle, et ce, de connivences avec l’autorité étatique (coloniale).
Le Mpadisme, c’est la voix de KIMBANGU DIATUNGUNA et de MPADI BUKA MAKENGO NSUKA, relayée par leur rejeton, l’unique, le vrai, qui n’est autre que Son Eminence LULENDO BOSEKOTA KITEDIKA MPADI, Représentant Légal et Chef Spirituel de la Religion Mpadiste, Nkuluntu-a-zi-Ntumua (Roi des rois), Gardien de la Foi Mpadiste, à qui, ils ont légué tous les pouvoirs spirituels pour mener à bien cette dure et lourde tâche consistant à répandre au monde la bonne nouvelle du Salut de l’Homme Africain afin de le tirer du gouffre de perdition et d’enlisement ou mieux d’aliénation mentale, culturelle et spirituelle, dans lequel l’ont balancé la colonisation, voilà déjà six siècles.
LULENDO BOSEKOTA KITEDIKA MPADI, investi de la pleine puissance de KIMBANGU et de MPADI, est donc ce clairon qui retentit sur le toit du monde, pour inviter tout Africain, où qu’il soit, en Amérique, en Europe, en Asie, en Océanie, à venir embarquer, avant qu’il ne soit trop tard, à bord du bateau du SALUT qu’est la RELIGION MPADISTE, en sigle, REMPAD. Ce message est destiné également au monde entier pour que soit mis, comme on dit, de l’ordre dans la boutique afin que chaque peuple puisse retrouver sa vraie voie du salut spirituel.
LULENDO BOSEKOTA KITEDIKA MPADI, c’est la voix de Kimbangu et de Mpadi qui crie nuit et jour pour l’éveil de l’Homme Africain afin que ce dernier puisse prendre conscience de son identité, de sa destinée spirituelle, puisse sortir des sentiers tordus et puisse marcher enfin sur sa propre voie spirituelle lui tracée
depuis la création par notre Dieu, WAMBA WA MPUNGU TULENDU.
Le Mpadisme, c’est cette gomme qui vient effacer toutes les erreurs doctrinales du passé en matière de spiritualité, erreurs dont les Africains, comme des oies, se sont fait gaver au fil des siècles par des envahisseurs et missionnaires venus de tous bords et lesquelles erreurs leur ont fait perdre leur personnalité, leur culture, leur modus vivendi. Ne dit-on pas qu’un peuple sans culture, sans indépendance spirituelle est un peuple mort ? Et qu’il n’y a pas de développement, d’épanouissement et de progrès réels d’un peuple sans spiritualité propre ?
Le Mpadisme, c’est cette religion pour laquelle Ndona KIMPA VITA ISIPA (baptisée Nsimba Béatrice) fut portée sur l’échafaud et brûlée vive avec son enfant de quatorze mois sur le dos. Elle fut incinérée sur l’ordre du père missionnaire BERNARDO et son complice LOURENZO. Par cet acte, les assassins avaient un seul message à faire passer : « quiconque s’évertuerait à la continuité de la pratique du culte de Dieu des ancêtres, subirait le même sort que KIMPA». Sous le coup des flammes qui la consumaient, elle laissa entendre cette prophétie : « Cet enfant mourant avec moi dans ce brasier, reviendra un jour sous le nom de KIMBANGU. C’était le 02 juillet 1706. Pour ceux qui utilisent le nom de KIMPA à tort ou à raison, il y a lieu de savoir qu’il renferme les initiales des noms de nos deux Sauveurs Africains : « KI = KIMBANGU et MPA = MPADI ». KIMPA VITA était une Princesse du royaume de Kongo. Quel était le nom authentique de son père et celui de sa mère ? Son Eminence LULENDO BOSEKOTA KITEDIKA MPADI demeure la seule personne qui peut apporter la lumière sur ces choses.
Deux siècles plus tard, se réalisait la prophétie de KIMPA VITA : le 24 septembre 1889 à 08h00 du matin, naissait dans la localité de Nkamba, dans la province du Kongo Central, un enfant mort-né puis réanimé par la suite grâce aux rites traditionnels. Il fut nommé KIMBANGU DIATUNGUNA.
Dès son jeune âge, cet enfant surdoué, manifesta des signes comportementaux qui furent de lui un être extraordinaire, lesquels signes éveillèrent l’attention des missionnaires catholiques et protestants qui se rappelèrent alors de la prophétie de KIMPA VITA. Ayant entendu la voix de Wamba wa Mpungu Tulendu, Kimbangu commença son ministère divin le 18 mars 1921 qu’il exerça pendant seulement six mois, dont trois en public et trois autres en clandestinité, étant traqué par le colonisateur belge (flamand) soutenu par l’église catholique. Il avait ressuscité 146 MORTS et guéri 17892 MALADES. Il sera ensuite appréhendé, jugé (sans défenseur juridique) comme hérétique puis condamné à mort par un tribunal des plus ignobles, des plus injustes, des plus expéditifs qui soient, bref un tribunal de la honte. Suite à la mesure de clémence royale, sa peine de mort fut commuée en prison à perpétuité et travaux forcés, d’où son transfèrement vers la prison de Buluwo à Likasi (Jadothville) d’abord, puis, ensuite, vers la prison centrale d’Elisabethville (Lubumbashi) dont les travaux de construction venaient d’être achevés. Il sied de noter que Kimbangu ne reçut, durant toute sa vie carcérale aucun membre de famille et jamais il n’a été transféré à la prison de Boma.
MPADI BUKA MAKENGO NSUKA, né le 25 septembre 1909, eut, lui aussi une enfance très caractéristique, toute émaillée de nombreux faits et événements mystérieux qui furent de lui un « HOMME PAS DE CE MONDE ».
De 1916 à 1934, il exerça chez les Protestants à Sona-Bata comme Pasteur-Catéchiste, puis de 1934 à 1939, à l’Armée du Salut , en qualité de Capitaine, sorti de la première Promotion Basakoli ya Mpiko. Communiquant mystérieusement avec Kimbangu alors en prison, celui-ci lui fit part de la volonté de WAM BA WA MPUNGU TULENDU qui venait de le choisir pour assurer sa succession. Mpadi quitta Henri Becquet et s’en alla rétablir, le 07/09/1939 à Kinsangi (Madimba), la religion de nos ancêtres portant aujourd’hui le nom de RELIGION MPADISTE.
Arrêté lui aussi le 13 septembre 1939 à Kinsangi, il sera déféré, seul, sans défense, devant un tribunal ecclésiaste d’exception composé de la manière suivante :
Juge Président (Pierre Reyckmans - Gouverneur Général) ;
Ministère Public (Monseigneur Delle Piane) ; Greffier (Monseigneur Verwing) ; 85 assistants composés d’autorités étatiques, colons belges, missionnaires CAPROSAL (catholiques, protestants et salutistes). Mais, MPADI, par la puissance divine, put se défendre vigoureusement et ses propos vexèrent le Juge Président qui le condamna avec refus catégorique d’interjeter un quelconque appel. C’était vraiment une parodie de procès. Et c’est ici que commence la vie carcérale de Mpadi. Il fut interné dans plusieurs prisons : Ndolo, Mbandaka, Basankusu, Befale, Ango, Madimba, Boma avant d’être finalement transféré à la Prison d’Elisabethville le 16/04/1946 aux côtés de KIMBANGU avec qui il vivra pendant cinq ans, cinq mois et six jours. Papa Mpadi sera conduit de la prison de Lubumbashi vers celle de Buluwo où il séjournera jusqu’à sa libération officielle, le 01/05/1960. Il regagnera par après la prison de Lubumbashi et le 05/05/1960, par un vol DC-4 de Sabena Airlines, il atterrira à l’aéroport de Nd’jili où il sera accueilli avec pompe par une foule immense venue de tous les coins de la capitale et des environs et aussi par des autorités comme Monsieur NZEZA NLANDU, Fondateur de l’ABAKO.
Tous nos ancêtres, tous nos anges au nombre de 77.777.777.000 avec à leur tête MFUMU ESTEK et MFUMU BULAMATADI TOWEL et encore nos deux Sauveurs KIMBANGU et MPADI sont tous avec nous ici en ces lieux, pour célébrer ensemble, dans la grande liesse, cette FETE DE LIBERATION.
SOYEZ BENIS, LIBERES, ET BONNE FETE A TOUS !
Lucas